Thomas Ephestion revient de blessure et reprend partiellement avec le groupe.

On a hâte de reprend le championnat. On a été bien mis dans le bain avec la réception de  Saint-Etienne en amical.

Quand on démarre une saison, on ne sait pas ce qui va se passer. On sait juste qu'il y aura des hauts et des bas. On va bien se préparer pour mettre en place les choses que l'on a vues ensemble.

La préparation, c'est un peu tronqué car il y a souvent une différence de niveau en match amical. Mais on peut pointer du doigt certains aspects.

On est très méfiant d'Orléans. Il sera difficile comme adversaire.

Le championnat de Ligue 2 est difficile et homogène. Il va falloir s'attendre à une saison âpre.

Les barrages, c'est attractif pour ceux qui regardent l Ligue 2. Et jusqu'à la fin, les équipes sont concernées.

On a travaillé pendant 6 semaines avec les recrues, à part Mehdi Tahrat mais il s'est vite intégré.

On va chercher les trois points pour le classement, le club et le public. C'est forcément mieux de démarrer avec une victoire. Par contre Orléans n'est pas très d'accord...

Il y avait du monde à l'entraînement ce matin. On a échangé avec les supporters après la séance. Ça fait plaisir de faire leur plaisir !

Je découvre Cheick Doucouré. Il montre beaucoup de qualités et un bon état d'esprit dans le travail. Il est intéressant techniquement.

Je suis très impatient de débuter ce championnat vendredi à Orléans.

Malgré les mouvements, départs, arrivées, on a un bon groupe.

Je dois m'affirmer car je suis amené à donner des conseils à certains jeunes.

On peut dire que je suis un ancien au Racing et un semi-leader car je connais bien les valeurs du club et ce que l'on attend de moi.

C'est ma première vraie préparation et on en a tous chié ! On a bien travaillé. Physiquement je me sens bien et l'équipe aussi.

J'avais une bonne entente avec Cristian Lopez en dehors et sur le terrain. Avec Yannick Gomis, c'est autre chose. On essaye d'avoir des automatismes pour que je puisse le régaler le plus possible.

Il faut créer des automatismes mais le staff met tout en œuvre pour que l'on trouve nos repères. Ça commence à prendre forme.

Aleksandar Radovanovic s'investit énormément. C'est appréciable. Il commence à parler français et à comprendre.