Andreea, comment s’est développée votre passion pour le football ?
« J’ai toujours eu un attrait particulier pour le football. Mon père était un passionné et je regardais beaucoup de matchs avec lui en étant enfant. Cet amour, il a refait surface quand je suis devenue mère d’un garçon qui voulait aller au stade. Je suis tombée amoureuse de l’expérience elle-même en assistant à des rencontres à Londres, lorsque je vivais en Angleterre. Aller au stade, c’est faire partie d’une grande communauté. J’ai la conviction forte que le football est un moyen d’intégration. Ce sentiment, je l’ai retrouvé lorsque j’ai mis les pieds à Lens pour la première fois. Le stade Bollaert-Delelis est un véritable lieu de partage, de proximité et d’émotions. Prendre son voisin dans les bras après chaque but, entendre les chants, voir toutes ces écharpes sang et or tendues en même temps… C’est une expérience incroyable ! »